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Un "bon vieux Space Opéra" bien moderne

Au moment où sort le tome 3 dont les critiques semblent bonnes, c'est le moment de vous parler du tome 1 (j'ai déjà écrit sur le 2).


John Scalzi - L'interdépendance, tome 1 : L'effondrement de l'Empire


Couverture tome 1 - L'interdépendance

Comme je le disais dans la critique du Tome 2, Arthur et Stanley parlaient du "bon vieux Space Opera" et ils ont écrit le scénario de 2001. John écrit aussi du bon vieux Space Opera, avec un peu plus de modernité forcément.

Il se lit très, très bien et l'histoire est prenante. Le prologue est fascinant et nous présente les flux qui forment les voies de communication entre les différents systèmes de l'Interdépendance.

Ils permettent d'aller plus vite que la lumière. Cela nous bâtit tout un univers sur le thème "et ce serait comment si ?". La vie est très simple : l'univers s'est installé à toutes les extrémités des flux, le fief de l'empire étant sur un nœud central.

Le hic : un homme découvre qu'un premier flux s'effondre. Tout un système va être isolé. C'est un peu le hic dans ce roman : si ce système nous est longuement décrit, nous allons le perdre au prochain tome. Quel gâchis ! Ce n'est pas lui le plus intéressant, tant mieux.

Les personnages irrévérencieux sont là pour mettre du piment au récit et la nouvelle Emperox est un personnage passionnant. Il y a quelques belles trouvailles dans son univers, notamment dans ses relations avec ses ancêtres (je ne divulgue rien de plus).

C'est une trilogie dont les livres sont relativement courts et se lisent avec plaisir et plus vite que la lumière, à la vitesse des flux de l'interdépendance. C'est bien dommage car nous aurions aimé des pavés plus conséquents !

Mais c'est le business…

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